Informations sur l'auteur
L'empreinte des Vikings
Description
Rendez-vous à Quettehou pour une randonnée riche en patrimoine naturel. Située entre terre et mer, la commune vous offre une promenade agréable et ressourçante. Faites le tour de l'église Saint-Vigor, elle offre un panorama exceptionnel sur ses alentours. Au cours de votre randonnée, admirez la halle aux grains et l'hôtel de ville, deux bâtiments du XIXe siècle.
Information complémentaire
Informations pratiques
Pour commencer votre promenade, partez de l'église Saint-Vigor.
Suivez le circuit selon le sens des aiguilles d'une montre.
Balisage jaune.
Quelques dénivelés sont à prendre en compte. En fonction de la météo, certains chemins peuvent être boueux et glissants. Prévoyez des chaussures adaptées à la randonnée.
Parcours adapté à la randonnée équestre.
Vous retrouverez ce circuits dans le topoguide " Les sentiers du Val-de-Saire - de Barfleur aux plages du D DAY " de l'Office de tourisme du Cotentin.
Circuit accessible en bus: se rendre à l'arrêt Quettehou - Mairie (plus d'infos sur capcotentin.fr).
Comment m'y rendre ?
Boutons d'export (pdf, gpx, app)
Informations techniques
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
PARCELLES CADASTRALES
OPEN STREET MAP
Point de départ
Points d'intérêt et informations parcours
L'Eglise Saint-Vigor
Remarquable édifice d’architecture gothique normand (XIIIe siècle) construit à l’époque au centre du village. Le clocher, véritable tour de guet, fut rajouté au XVe siècle. C’est ici qu’Edouard III, roi d’Angleterre, adouba son fils le Prince de Galles dit Prince Noir, en 1346, au début de la Guerre de Cent Ans.
Le Val Vacher
Il s’agit du lieu de naissance de la Bienheureuse Placide Viel (1815), béatifiée en 1951. Elle était membre de la congrégation des Soeurs de la Miséricorde fondée par Marie-Madeleine Postel, née à Barfleur en 1756.
L'Emprionnerie
Ce lieu était une zone principale d’activité grâce à la présence de l’eau. De nombreux moulins à grain, textile et à tan (extraction du tanin de l’écorce de chêne) ont fonctionné sur le cours d’eau Le Vaupreux jusqu’à la fin du XXe siècle.