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Les Querrières
Description
La commune de Brix, située entre Cherbourg et Valognes, est l’héritière d’une grande page d’histoire. C’est en effet dans cette commune, sur le site de l’actuelle propriété « Bruce Castle », que s’enracine le passé de la famille royale d’Écosse.
Brix comptait autrefois sur son territoire deux châteaux de barons : le château d’Adam et celui de la Luthumière dont il ne reste que des vestiges.
Au XVIe siècle, le château Le Val voit le jour.
Deux autres châteaux apparaissent au XVIIIe siècle.
Celui de Pannelier, construit avant la Révolution et réhabilité après un incendie au XIXe siècle, est habité par les propriétaires actuels depuis 2003.
Celui du Mont Epinguet, de style néo-classique, a été la propriété de la famille Ratti de 1917 à 1955, notamment de Lucien Ratti qui en a fait un haras.
Dans les années 1920, ce dernier avait fait construire le premier grand magasin de Cherbourg sur le modèle de ceux qui existaient déjà à Paris.
Actuellement, les châteaux Bruce Castle, Le Val, de Pannelier et Mont Epinguet proposent gîtes et chambres d’hôtes.
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Informations techniques
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
PARCELLES CADASTRALES
OPEN STREET MAP
Point de départ
Points d'intérêt et informations parcours
1
Départ
Départ du bourg de Brix, devant l’église.
Balisage rouge.
Suivez le circuit selon le sens des aiguilles d'une montre.
La ferme des Craps-Mesnil
Non loin de cette ferme se réunissent trois ruisseaux formant la Rade. C’est dans cette vallée que s’installèrent les verriers à partir du XVe siècle. La famille de Belleville développa cette activité pendant 200 ans avant de décliner, supplantée par la Glacerie Royale de Tourlaville fondée par Antoine de Caqueray, venu souffler le verre à Brix.
2
Variante
Variante de 6 km en passant par le Hameau Pasquier pour rejoindre le Hameau ès Bots.
La croix Mouchel
Elle fut érigée en 1874 par René Mouchel.
Cette croix porte un Christ en métal.
On découvre sur ce calvaire des inscriptions :
« Cœur Sacré de Jésus sauvez la France » et « Sauvez-nous ».
Il est probable que ces inscriptions aient été ajoutées sur le monument lors de l'occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale.