Informations sur l'auteur
Boucle vélo de Saint-Vaast-la-Hougue
Information complémentaire
Partir de l'Office de Tourisme de Saint-Vaast-la-Hougue. Au rond-point, prendre la deuxième sortie sur Rue de la Hougue.
Boucle facile avec un cheminement sur des routes partagées à faible trafic et des chemins carrossables, petite difficulté pour se rendre à la Pernelle. Vélos conseillés : VTC, Gravel, VTT, VAE.
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
PARCELLES CADASTRALES
OPEN STREET MAP
Point de départ
50550 Saint-Vaast-la-Hougue
Le port de Saint-Vaast-la-Hougue
Le port de pêche et de plaisance arbore le Pavillon Bleu depuis près de vingt ans. Situé au cœur de la ville, il participe au charme de Saint-Vaast-la-Hougue, avec ses retours de pêche qui animent les quais en offrant un spectacle vivifiant.
Les chantiers navals
Des nombreux chantiers navals très actifs au XIXe siècle, seul subsiste aujourd’hui un chantier de construction et restauration de renommée nationale ayant participé, entre autres, à la rénovation du Marité, dernier terre-neuvier français et de la gabare « Fleur de Lampaul » classé aux Monuments Historiques dont le port d’attache est Saint-Vaast-la-Hougue.
La chapelle des Marins
Cette chapelle correspond au chœur et à l'abside de la première église paroissiale dont la construction date du XIe siècle. Elle est désormais dédiée aux marins péris en mer ainsi que l'attestent les nombreuses plaques du souvenir apposées sur les murs. On peut aussi y admirer un graffiti, témoignage de la vie maritime du XVIe siècle. L'ancien cimetière marin a été reconstitué avec des pierres tombales provenant de Rideauville (rattachée à la commune de Saint-Vaast-la-Hougue sous la Révolution).
Les tours Vauban
Edifiées de 1694 à 1699, suite à la bataille de la Hougue, les tours Vauban de la Hougue et de Tatihou encadrent la baie de Saint-Vaast, telles des sentinelles.
Le tir croisé de leurs batteries avait pour but de protéger la « plus belle rade de France » selon Vauban lui-même. Inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2008 dans le cadre du Réseau des sites majeurs de Vauban, elles représentent une facette de son œuvre, à savoir "les tours tronconiques d'observation et de défense côtières".
L'anse du Cul de loup
Site exceptionnel préservé (Natura 2000) pour la richesse de sa faune et de sa flore, cette baie abrite une grande partie du bassin ostréicole de Saint-Vaast-la-Hougue qui s’étend de Tatihou à Lestre. Berceau de l’huître normande, Saint-Vaast-la-Hougue est réputé pour ce mets délicat au goût de noisette.
La Mairie de La Pernelle
Très pittoresque, elle est couverte de pierre de schiste. Elle était à l’origine un ancien corps de garde anglais du XVe siècle. Aujourd’hui, elle est la plus petite mairie de France.
La fontaine Saint-Marcouf
Elle se trouve au pied de la Roche Cabart près du Trou aux Fées. Elle aurait des vertus curatives pour les « humeurs froides » ; c’est ainsi que l’on désignait les « écrouelles » (abcès aux cervicales) que les rois de France avaient le don de guérir par le toucher. Ce don leur avait été transmis par Saint-Marcouf, ermite du VIe siècle.
L'église Sainte-Pétronille
Détruite pendant la dernière guerre, c’est un édifice moderne. Seul le clocher à bâtière a pu être sauvé et restauré, ainsi que le Christ de l’ancienne « perque » (poutre de Gloire datant du XVIIIe siècle) et les fonts baptismaux du XVIIe siècle.
La grotte
Elle a été construite en 1929 sous le cimetière qui entoure l’église. Une statue de la Vierge y a été installée avec la volonté de reproduire le plus fidèlement possible la grotte de Massabielle de Lourdes. D’ailleurs, une pierre de Massabielle est enchâssée juste au-dessous de la statue.
L'église Saint-Martin
Cette église classée à l’inventaire des Monuments Historiques est composée d’une grande nef romane du XIIe siècle, d’un chœur gothique à deux travées construites au XIIIe siècle augmenté postérieurement de deux chapelles.
Le château (propriété privée)
Construit sur l’emplacement d’un édifice médiéval, il a subi d’importantes modifications au XVIIe siècle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a abrité successivement les troupes d’occupation puis les libérateurs.